mercredi 19 mars 2014

« Errare humanum est, perseverare diabolicum »


En 2008, monsieur GUILLAMAT appartenait à la liste de Monsieur NUNZI « pour Moissac notre ville ». On peut donc penser qu’il était en accord avec les projets du Maire et d’ailleurs, il l’a prouvé en acceptant d’être son adjoint aux finances.

Aujourd’hui monsieur Guillamat écrit que monsieur NUNZI « trompe les électeurs en promettant un futur en contradiction avec 30 ans de mandat municipal ».

Cela paraît une évidence mais tout de même, quel culot !


Cela signifie surtout que monsieur Guillamat est également dans la tromperie quand il promet monts et merveilles, alors que pendant 6 ans il a participé aux décisions, cautionné les actions et voté les financements de tous les projets en tant qu’adjoint aux finances. Bref, il a fait tout le contraire de ce qu’il propose désormais.

Il dénonce le bilan du Maire mais il a été co-acteur, il a tout voté (y compris le Patus) et s’étonne lui, l’adjoint aux finances ( !) de « l’endettement réel et record de la ville de plus de 14 millions d’euros », de « la dette de plus de 1000 euros par moissagais »

Cerise sur le gâteau, monsieur GUILLAMAT souhaite un audit sur les finances. C’est complètement surréaliste. Embarqué sur le « finances », il baignait dedans, sans s’apercevoir qu’il sombrait. Quel temps de latence ! Quel manque de réactivité ! Quelle inconséquence ! Six ans face à l’iceberg, sans surveiller son embarcation.

Avec vous pour Moissac,  Colette Rollet