lundi 17 février 2014

Jean-Paul Nunzi dans le cosmos, Jean-Michel Henryot dans les rues de Moissac

La Dépêche du Midi rapporte que M. Nunzi s'est exclamé, lors de la présentation de sa liste, que je devais habiter dans la lune pour m'émouvoir des problèmes de stationnement en ville...
Que les Moissagais et monsieur Nunzi se rassurent, je n’arrive pas de la lune, ou alors nous y étions nombreux.
Je pense que nous parlons de la même ville mais pas avec les mêmes personnes, tous les commerçants que j’ai rencontrés, m’ont évoqué parmi leurs premières préoccupations, les soucis de stationnement au centre ville, et ils ne font que relayer les revendications de leur clientèle.
Les avis sur les solutions possibles ne manquent pas, et justifient une concertation sereine afin d’aboutir à la satisfaction du plus grand nombre.
En ce qui concerne les problèmes de logement, non seulement j’ai entendu parler de l’OPAH mais j’ai lu avec attention les derniers résultats qui viennent d’être publiés.
Heureusement que cette démarche est en cours, et je ne la conteste pas, il y a là un outil indispensable à utiliser, mais pourquoi seulement depuis deux ans, et puis il reste encore tant de choses à faire ; c’est ce besoin que nous voulons mettre en avant, parce que ici aussi nous ne faisons que rapporter les souhaits de nos concitoyens, il faut les écouter et les entendre.
S'il en est un (parmi les candidats) qui connaît chaque rue ou ruelle de Moissac, chaque route ou chemin de campagne, c'est bien moi, qui ai sillonné et visité pendant plus de 30 ans Moissac , alors que d'autres pendant ces mêmes 30 ans s'enfonçaient dans leur fauteuil à la Mairie. Qui a la meilleure appréciation de l'état des lieux?
Quant aux logements insuffisants ou insalubres, je les connais, la clientèle d’un généraliste de terrain est surtout faite de gens modestes ou en difficultés.

Jean-Michel HENRYOT